Je ne voyais rien devant moi que ce blanc de nuage. Le soleil la perçait en un seul point, y déposant une étoile. Regardant de la fenêtre, j'imaginais un paysage silencieux. Je me disais que pour les oiseaux cette brume était un espace infranchissable et mortel, où l'on ne peut ni voler ni trouver de la nourriture. J'ai ouvert la porte. Le foisonnant des cris et des chants dans l'air. Plus de mort. La mort est le silence. Que le délice de ce qui m'est invisible et le scintillement des chants.
samedi 28 juin 2008
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